25 juin 2007
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L'oiseau de Feu...
Il n'y a pas d'obscurité ,
Seule, la lumière crée les ombres.....
Qui éclaire la nuit ? dans nos sombres instants..
Les images feront elles encore briller nos yeux ?
Des portraits cachés , les éphémères , nocturnes à mon coeur ...
A l'ombre des envies , les oiseaux libres , brisent le ciel de morceaux choisis..
Fragile en nos ventres...
Les voix intérieures , traversent le vide ...
Nous étions charmants, à rêver tristes et purs ,
Devant les éclats de mer qui brisaient nos incertitudes..
Le livre d'une vie ne suffit pas à tourner les pages...
D'une pluie de printemps qui sentait si bon..
A fuir, tu es resté seul ,
Et les fleurs que nous n'avons pas pu cueillir,
Ont embaumé nos âmes d'un parfum ennivrant ..
Même dans la douleur , les matins sont pauvres ,
A l'angle de la fenêtre , le ciel projette son bleu de fées.
.
A mes yeux, l'enfer est joyeux ,
Quand l'oiseau de feu enflamme les nuits sans étoiles,
La lumière jaillit , sur nos visages illuminés,
La déraison s'enfuit, puisque ce matin, blessée,
Les ailes ont froissé mon sourire qui a survécu à l'envol....
En silence, mes lèvres ont parlé...
Il n'y a pas d'obscurité ,
Seule, la lumière crée les ombres.....
Qui éclaire la nuit ? dans nos sombres instants..
Les images feront elles encore briller nos yeux ?
Des portraits cachés , les éphémères , nocturnes à mon coeur ...
A l'ombre des envies , les oiseaux libres , brisent le ciel de morceaux choisis..
Fragile en nos ventres...
Les voix intérieures , traversent le vide ...
Nous étions charmants, à rêver tristes et purs ,
Devant les éclats de mer qui brisaient nos incertitudes..
Le livre d'une vie ne suffit pas à tourner les pages...
D'une pluie de printemps qui sentait si bon..
A fuir, tu es resté seul ,
Et les fleurs que nous n'avons pas pu cueillir,
Ont embaumé nos âmes d'un parfum ennivrant ..
Même dans la douleur , les matins sont pauvres ,
A l'angle de la fenêtre , le ciel projette son bleu de fées.
.
A mes yeux, l'enfer est joyeux ,
Quand l'oiseau de feu enflamme les nuits sans étoiles,
La lumière jaillit , sur nos visages illuminés,
La déraison s'enfuit, puisque ce matin, blessée,
Les ailes ont froissé mon sourire qui a survécu à l'envol....
En silence, mes lèvres ont parlé...